Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus agressifs et difficiles à traiter, en partie parce qu'il est souvent résistant à la chimiothérapie. Les chercheurs de l'Université de Stanford ont découvert que cette résistance est liée à la fois à la rigidité du tissu entourant les cellules cancéreuses et à sa composition chimique. Leurs travaux, publiés le 4 juillet dans Nature Materials, montrent que cette résistance peut être inversée, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités de traitement du cancer du pancréas.

Le glioblastome est souvent une forme mortelle de cancer du cerveau, dont seulement 5% des patients survivent plus de cinq ans. De nouvelles recherches menées par des scientifiques de la Lee Kong Chian School of Medicine (LKCMedicine) et de l'Institut national de neurosciences (NNI) pourraient ouvrir de nouvelles perspectives pour les patients atteints de glioblastome. Leurs travaux pourraient être révolutionnaires dans le traitement de cette maladie mortelle et dans la prévention de ses rechutes.

Le biohacking, terme intrigant à la croisée de la biologie et de l'informatique, désigne un mouvement où des individus, communément appelés biohackers, utilisent des méthodes scientifiques pour améliorer leur santé et leur performance. Cette pratique, à la frontière de l'expérimentation et de l'autogestion, attire de plus en plus d'adeptes dans une société où le bien - être et la performance individuelle sont en quête constante d'optimisation.